Jean-Marie Le Pen en (grandes) chansons

Publié le par Schweinnie

écoutez, n'est-ce pas, voyez-vous, nous nous devons de protéger les chihuahuas contre ces hordes d'immigrés

Cette petite aventure
Va tourner en déconfiture
Éclaire-moi
Éteins la lumière
Montre-moi ton coté sombre
Regarde les ombres
Qui errent
Axel Bauer, Eteins la lumière

Et même si la viande est dure comme du caoutchouc
Au moins je suis sur de rigoler un bon coup
Je préfère manger à la cantine
Même si le beurre c'est d'la margarine
Tant pis s'il y a des cailloux dans les épinards
Je préfère manger au réfectoire
Carlos, La cantine

On l'présenta pour les élections
Et ses discours remuaient l'opinion
Il était là dans toutes les réunions
La tête froide malgré son émotion
Chantal Goya, Davy Crockett

Un peu renard, un peu loup
Il sort le jour ou bien la nuit
Ce qu'on dit de lui il s'en fout
Daniel Guichard, Le gitan

C'est comme
Un tremblement de terre,
Un typhon sur la mer,
Un grand coup de tonnerre
Qui vient tout bouleverser.
Oui comme
Un tremblement de terre,
Un ciel rempli d'éclairs,
La fin d'un univers
Qui vient nous emporter.
Dorothée, Tremblement de terre

Personne dans le monde ne marche du même pas
Et même si la Terre est ronde, on ne se rencontre pas
Générique d'Arnold et Willy

C'est le plus grand des voleurs
Oui mais c'est un gentleman
Il s'empare de vos valeurs
Sans vous menacer d'une arme
Quand il détrousse une femme
Il lui fait porter des fleurs
Gentleman cambrioleur
Est un grand seigneur
Jacques Dutronc, Gentleman cambrioleur

J'ai la force et les yeux d'un loup
Au ciel du Pacifique
Mais je suis fragile et jaloux
Dans cette jungle électrique
Et je disparais
Quand réapparait
Le bleu des regrets
Gérard Lenorman, Le bleu des regrets

Quand j'étais à la légion étrangère
Je traversais tous les jours le désert
Le sable chaud, le soleil quelle misère
J'aurais donné ma vie pour boire une bière
Y avait pas de vent, y avait pas d'courants d'air
De soif, ma langue pendait jusque par terre
Le grand Jojo, On a soif

Rien que trouver à manger, ce n'est pourtant là qu'un détail
Mais ça suffirait à pousser un homme au travail
Marcel Amont, Le Mexicain

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières
Michel Sardou, Les lacs du Connemara

C'est la merguez, merguez-partie.
Tant qu' y a de la braise, c'est pas fini
Les musclés, Merguez partie

Nous, les petits Français
Qu'on soit flic ou maçon
On aime le beaujolais,
Les filles, l'accordéon
Nous, les petits Français
On est plutôt champions
Pour l'amour on est prêt
Quelle que soit la saison
Pascal Sevran, Les petits Français

C'est le cas du kamikaze
C'est l'abc du condamné
Le légionnaire qui veut l'avantage des voyages
Sans s'engager
Philippe Lafontaine, Cœur de loup

Il connaît le nom des bateaux
L'prenom du capitaine
Il te refile en stéréo
La chanson des sirènes
Il trafique un peu dans tous les ports
La marine est d'accord
Y'a aucun malaise dans sa combine
Philippe Lavil, Il tape sur des bambous

la fourmi veut pas donner son miam miam
la fourmi n'est pas préteuse
c'est une vieille embéteuse
plutot crever que donner un gramme
Pit et Rik, La cicrane et la froumi

Qu'est ce qu'il a fait là ? Oh la le vilain
Kiki a mangé des bouts de caca !
Non mais des fois ! Oh vilain tout plein !
Non mais Kiki, qu'est ce qui m'a fichu ça ?
Veux-tu venir ici gros dégoûtant
Et pas bouger assis debout couché !
A son panier, oh le méchant !
Va te coucher son pépère est fâché
Richard Gotainer, Le youki

Du rhum, des femmes, c'est ça qui rend heureux.
Que l'diable nous emporte, on a rien trouvé d'mieux
Soldat Louis, Du rhum, des femmes

Ange noir je le sais
Tu es mon ange noir
L'histoire de mes silences
La couleur de l'absence
Youri Djorkaeff, Vivre dans ta lumière

Les coups de poings dans l'âme
Le froid de la lame qui court
Chaque jour me pousse
Un peu plus vers la fin
Quand je monte sur scène
Comme on prend le dernier train
Daniel Balavoine, Je ne suis pas un héros

Bébé martyr et violé
Tu devins vite alcolisé
Tu étais simple dans ta tête
Tu étais simple dans tes gestes
La societé t'as rejetée
Et c'est l'armée qui t'as aimé
Didier Bénureau, Chanson pour Morales

Mes amis, je dois m'en aller
Je n'ai plus qu'à jeter mes clés
Joe Dassin, L'Amérique

Qu'on me donne la haine pour que j'aime l'amour
La solitude aussi pour que j'aime les gens
Pour que j'aime le silence qu'on me fasse des discours
Et toucher la misère pour respecter l'argent
Johnny Hallyaday, L'envie

Je n'sais pas si c'est très académique
Je n'vis bien qu'à travers la polémique
Moi, mon train-train, il est plutôt électrique
Je garde rien, je préfère qu'on s'explique
C'est sûr je n'ai pas la langue dans ma poche
Jean-Pascal, L'agitateur

Nous étions jeunes et larges d'épaules
Bandits joyeux, insolents et drôles
On attendait que la mort nous frôle
Bernard Lavillers, On the road again

Tu m'as cherché
Tu m'as trouvé
Tu m'as allumé bébé
Alors moi, le matos, j'ai débalé
Et Maintenant tu chiales
Pour une petite douleur anale
MC Warriors, Un grand coup dans ton cul

J'inventais des lettres à France
En solitaire, en silence
Pascal Obispo, Fan

Bien sûr, que c’est vraiment facile, facile,
C’est même complètement débile, débile
Patrick Sébastien, Les sardines

Publié dans telepoubelle

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